Selon certains experts en critique historique, la République Démocratique du Congo est peuplé depuis au moins 200 000 ans environ. Les preuves en sont multiples comme la découverte de l’homo sapiens à Ishangu dans le fin-fond du parc de Virunga, le Preacheuléen découvert sur les sites archéologiques de la mulundwa au Katanga et les quelques témoignages laissés par les anciens sur la nécropole de Sanga dans la région du lac Upemba qui date du septième siècle après Jésus Christ. Mais ce dernier point ne contredit guère le fait que les premiers vrais occupants du Congo furent les pygmées. Partant des conclusions de Anta Diop et Théophile Obenga, nous adhérons a l’idée que les premières migrations d’une poignée des ancêtres bantous ont eu lieu de la vallée du Nil en Nubie ,Haute Egypte, avant la première période intermédiaire dite thinite ( cfr subdivision de l’histoire ) ; une deuxième expédition des bantous vint de l’Est du Nigeria et du Cameroun vers -2600 ans. C’est alors que naquit le peuple bantu et ces derniers qui peuplent tout le territoire avaient toujours vécu dans les sociétés bien structurées et surtout avec des organigrammes bien sculptés. Les dirigeants étaient choisis dans des lignées des chefs traditionnels appelées les chefferies. Certaines de ces civilisations s’imposèrent aux autres par leurs puissances commerciales et fondèrent des puissants empires qui régnaient sur les milliers de kilomètres carrés, surtout dans la partie Ouest du Congo, sur les côtes de l’Océan Atlantique. Les plus importants des royaumes et empires furent : le Kongo, le Pende, Songye, Luba, Kuba
La traite Negrière qui a été précurseur de la colonisation, s’est étendue jusqu’à l’intérieure du continent autrement dit même le Congo a été victime ; cette traite correspond avec la traite de l’ivoire, à l’essor économique ou au déclin des différents royaumes, elle a été l’œuvre des arabes. Elle a eu surtout un impact démographique sur l’Est du pays et a fait pâtir la tradition. En République Démocratique du Congo, les figures de proue ont été : Rumaliza, Ngongo Lutete ,…
Bien que plusieurs civilisations aient connu des essors considérables au Congo, cette partie est demeurée pour longtemps inconnue du monde occidental; ce n’est qu’en 1482 que l’explorateur et Marin portugais Diego Cao découvrait l’embouchure du fleuve Congo et par la même occasion dénichait en ces lieux le Royaume Kongo qui était à son apogée. Il s’est rendu jusqu’ a la capitale Mbanza Kongo ou il rencontra le roi du fameux royaume.
L’écho faisant le larron en Europe, Léopold II, roi de la Belgique, ouït dire les merveilles de cette terre inconnue, et prit entre 1874-1877 la décision d’y envoyer la première expédition qui serait patronnée par l’explorateur et journaliste anglais Henry Morton Stanley. Cette expédition marquera le début d’une longue et pénible marche du peuple congolais qui sera ponctuée par la colonisation passant par la possession du Congo par Léopold II (1885) mais la maitrise du territoire n’interviendra qu’en 1894 et l’annexion du pays a la Belgique (1908). La descente sur terrain de monsieur Stanley accoucha d’un grand espoir auprès du roi Léopold II qui organisa la conférence géographique de Bruxelles en 1876 qui se solda par la naissance de l’ A.I.A et entreprit deux ans plus tard ,en 1878 de créer le Comité d’Etudes du Haut-Congo. Etant obstiné par l’idée de détenir une terre personnelle, Léopold II sème ses différents partenaires et change encore une fois en 1882 l’appellation par l’Association Internationale du Congo (AIC).Pour bien marquer son terrain, le roi des belges invite le chancelier allemand Otto Von Bismark a présider une conférence qui ira du 15 novembre 1884 au 26 février 1885.Dans cette conférence dite « conférence de Berlin »assises les grandes puissances occidentales se partagèrent l’Afrique sans les Africains eux-mêmes . Ce fut donc le 26 février 1885 que fut signé à Berlin, l’Acte Général de Berlin qui reconnut le Congo comme un Etat Indépendant (EIC) et par-dessus tout, propriété privée de Léopold II Roi des Belges. Pendant la gérance du Congo par le Roi Léopold II, plus de 10 millions de congolais furent massacrés sur l’auteur de pointes d’ivoire, cuivre, or, cassitérite, et caoutchouc qui ont considérablement enrichi la famille Royale et développé la Belgique.
Le 20 aout 1908, le Congo était devenu suite au testament du roi des belges, une propriété privée de l’Etat Belge vu que monsieur Léopold II s’était trouvé avant sa mort dans l’incapacité de payer la dette qu’il devait au gouvernement belge. C’est ainsi que le gouvernement belge s’est promis de faire de tout son mieux pour effacer les traces des méfaits de la mauvaise politique du roi Léopold II ; qui malheureusement ont laissé des blessures indélébiles dans les cœurs des autochtones. Le Congo étant devenu une colonie belge n’avait rien d’éclat ou aucune faveur n’était donnée à la population autochtone ; tout est basé sur le principe : « pas d’élites, pas d’ennuis » .La deuxième guerre mondiale, les différentes conférences, symposium, qui le premier a permis de découvrir le verso de l’homme blanc et les seconds qui regroupaient en grande partie les africains dits « évolués » des différents coins de ce continent longtemps resté dans l’ombre.
Après près de 80 ans sous le joug colonial belge, le Congo devint indépendant le jeudi 30 juin 1960. Un mois auparavant, soit en mai 1960, le Peuple congolais pour la toute première fois de son existence choisissait ses dirigeants et ses mandataires dans les nouvelles institutions politiques du jeune Etat. Le vainqueur de ces élections fut Patrice Emery Lumumba. Il fut désigné Premier ministre par un Arrêté Royal du 23 juin 1960 et Joseph Kasavubu nommé le 27 juin 1960 Président de la République selon les dispositions de la Loi Fondamentale. Celle-ci fut élaborée et votée par le Parlement belge, ensuite imposée au Peuple Congolais indépendant (contradiction : imposition d’une loi a un peuple indépendant!).Au niveau national et provincial, le pays fut doté des institutions politiques incarnées et dirigées par les mandataires démocratiquement élus mais malheureusement sans expérience politique ni formation. Lors de son discours d’investiture en sa qualité de Chef du Gouvernement, Patrice Emery Lumumba déclara que désormais, toutes les richesses naturelles dont regorge le Congo, devaient d’abord bénéficier aux populations congolaises pour relever leur niveau de vie et développer rapidement le nouvel Etat. Mécontentes de cette pensée un peu trop nationaliste, toutes les grandes puissances, avec en tête les USA et la Belgique, qui continuaient à croire et à espérer que le Congo resterait toujours leur fournisseur des minerais gratuitement ou à vil prix, firent tout pour empêcher la réalisation du plan Lumumba et l’élimination physique de ce dernier. Et elles mirent leur plan machiavélique 11 jours seulement après la proclamation de l’Indépendance du Congo, ces grandes puissances créèrent et soutinrent les sécessions du Katanga le 11 juillet 1960 qui était chapeautée par Moise Tshombe et du Sud-Kasaï le 8 août 1960).En attaquant ces zones stratégiques elles visaient à priver le gouvernement de Lumumba des recettes des richesses minières. Sur instruction des impérialistes occidentaux, le Premier ministre Patrice Emery Lumumba fut révoqué par le président Kasavubu le 5 septembre 1960, arrêté, sauvagement torturé et finalement lâchement assassiné le 17 janvier 1961 à Elisabethville (Katanga) par la police belge et la CIA américaine. Comme si cela ne suffisait pas, le corps de Lumumba fut découpé en morceaux et dissout dans l’acide sulfurique dans une baignoire et jeté dans les égouts. La nouvelle République sombra dans alors dans un chaos politique et économique indescriptible ! Le 14 janvier 1963, aidé par les casques bleus de l’ONUC (Organisation des Nations Unies au Congo) ; le gouvernement du Premier Ministre Cyrille Adoula (Syndicaliste) parvint à mettre fin à la sécession du Katanga. Celle du Sud-Kasaï l’avait été avant par l’Armée Nationale Congolaise. La mort de Patrice Emery Lumumba fut à son tour un déclencheur des soulèvements : les populations se soulevèrent en une grande rébellion légitime contre le gouvernement illégal à Léopoldville imposé par les grandes puissances. Cette rébellion qui occupa déjà les ¾ du pays durera de 1963 à fin 1964. Avec l’aide des mercenaires de Bob Denard recrutés par le Premier ministre Moïse Tschombe, le gouvernement de Salut Public qu’il dirigeait mit fin à la rébellion et réunifia ainsi le pays.
La quiétude qui commençait a régner au Congo déstabilisa les grandes puissances qui trouvaient que cela perturberaient leurs transactions mafieuses et c’est ainsi que le peuple congolais fut surpris par un coup d’Etat militaire le 24 novembre 1965. Le bouc émissaire ne fut autre que l’homme de paille des impérialistes occidentaux, Joseph Désiré Mobutu, il était colonel et chef d’Etat Major général de l’armée congolaise. Apres s’être autoproclamé Chef de l’Etat, il limogea toutes les institutions politiques récemment issues des élections démocratiques et s’empara de tous les pouvoirs. Quelle ne fut pas la surprise générale quand un insurgé qui renverse un pouvoir comme lui est directement reconnu par les grandes puissances. Le colonel Mobutu choisit un tactique peu orthodoxe pour instaurer son autorité, il pendait sans merci en public tous ceux-là qui s’opposaient à lui. Cette sanglante dictature arrosera durant 32 ans la misérable vie du congolais. Les conséquences qui s’en suivirent furent des coups durs :
-peuple souffrit impuissamment
-Pillage systématique des richesses
-tout l’argent placé sur les comptes du dictateur et sa famille politique dans les banques des pays étrangers, entre autres la Suisse, la Belgique, l’Espagne, la Grande-Bretagne, le Canada, la France etc.…
Vint L’authenticité, ici Mobutu interdit aux religions ou aux parents de donner de prénom occidentaux aux personnes et supprima du calendrier les fête religieuses ; après vint la Zaïrianisation avec les 3 Z : le pays, la monnaie, le fleuve. Vu la terreur que fait régner le dictateur et qui oblige à la population d’appartenir à son parti politique, vers les années 1975, un groupe d’intellectuels et l’Eglise catholique locale s’organisent, d’abord en clandestinité, ensuite publiquement afin d’en finir avec le régime dégradant, sans partage et surtout immoral sur toute la ligne. Bien que nombreux furent portés disparus, c’est fut un pas de géant vers la démocratisation du Congo. L’éducation négligée, pas de paiement des rémunérations des enseignants, pas de construction des nouvelles écoles et universités alors que le pays commençait à former chaque année plus 100.000 diplômés du BAC, telles furent quelques-uns des défis du Zaïre. Même avec l’éducation bafouée il est impérieux de souligner le fait que le Congo avait atteint le niveau d’alphabétisation de 87 % qui faisait de lui le premier en Afrique. De 1985-1990, la Société Civile vit le jour suivie de la création de quelques partis politiques de l’opposition radicale. Le Maréchal Président Mobutu et son régime ainsi que tous ceux qui les soutenaient massivement (grandes puissances occidentales), furent désagréablement surpris des résultats des consultations populaires de février-mars 1990. En effet, par 6.000 mémorandums, le peuple congolais dit haut et fort « Non au régime dictatorial et partant à Mobutu lui-même et son parti-Etat », le Mouvement Populaire de la Révolution, MPR en sigle.
La transition lève l’ancre Le 24 avril 1990, Mobutu enfin cède, larmes aux yeux, sous la forte pression du Peuple révolté. Le dictateur accepta timidement et à contre cœur le multipartisme et pluralisme syndical. Le MPR fut ainsi à officiellement dissout. Le peuple congolais réuni en Conférence Nationale Souveraine (7 août 1991 – 6 décembre 1992). Mobutu, en dépit des accords consensuels conclus avec le Peuple, refusa cependant d’appliquer toutes les décisions prises par la Conférence Nationale Souveraine et son organe délibérant le HCR-PT (Haut Conseil de la République-Parlement de la Transition). Entre-temps, en avril 1994 éclate au Rwanda voisin une guerre civile suivie du génocide des tutsi et des hutu modérés. Pour éviter la poursuite de ce génocide, la France avec son Opération Turquoise sous l’égide de l’ONU, conduisit et déversa au Kivu (à Bukavu et à Goma), sans aucun contrôle aux frontières congolaises, près de 4 millions des hutus en trois jours. Arrivés en juillet 1994, ces réfugiés ne seront pris en charge par l’UNHCR qu’en novembre 1994. La présence de tous ces rwandais au Kivu y créa le climat d’insécurité et les épidémies de toutes sortes dont le choléra qui fera rage, notamment dans les rangs des réfugiés rwandais. Comme Mobutu ne voulut point quitter le pouvoir et le Peuple congolais en avait ras-l e-bol, alors vint un certain Laurent Désiré Kabila, un des anciens disciples fidèles de Patrice-Emery Lumumba et qui, à partir de son sanctuaire des grottes de Fizi dans la province du Sud-Kivu, combattit durant plus de 20 ans le régime de Mobutu de triste mémoire. Alors, du 25 octobre 1996 au 17 mai 1997, l’armée de L. D Kabila bien équipée et disciplinée (composée essentiellement des mercenaires tutsis rwandais, ougandais et burundais) partit du Kivu où, avant de continuer dans les autres provinces du Congo (Zaïre), elle démantela tous les camps de réfugiés hutus rwandais dont 65% retournèrent malgré eux au Rwanda et les autres se cachèrent dans les forêts du Kivu. Cette armée de L.-D. Kabila battit sans résistance majeure toutes les troupes de Mobutu en poste dans toutes les provinces du Congo-Zaïre.
Laurent-Désiré Kabila et ses soldats furent accueillis en sauveurs et ce dernier se proclama Chef d’Etat du Congo, il promit la sécurité, paiement régulier des salaires, liberté d’expression et reconstruction du pays, donc la démocratie tant chantée était de nouveau à l’honneur. Une fois au pouvoir, Laurent Désiré Kabila oublia ses compagnons des luttes (les rwandais, les Ougandais ) à qui il avait promis une partie du gâteau dans l’accord signé a Lemera et au lieu de cela ,il prit un nouveau visage en restant égal à lui-même, c’est-à-dire, patriote, nationaliste invétéré et impassiblement manipulable, contrairement à ce que fut son précurseur. La nouvelle face de Laurent ne plut guère aux grandes puissances, qui décidèrent d’utiliser les ennemis de la paix au Congo, qui ne sont autres que le Rwanda, l’Uganda et Burundi et ces derniers s’organisèrent pour chasser, mais en vain, Laurent Désiré Kabila du pouvoir à Kinshasa. Ils créèrent de toutes pièces les rébellions à l’Est (RCD-Goma : rassemblement congolais pour la démocratie – soutenu par le Rwanda) et au Nord-Ouest du pays (MLC : mouvement pour la libération du Congo – soutenu par l’Uganda). Il fut décidé de liquider Laurent-Désiré Kabila et cette décision fut exécutée le 16 janvier 2001 ou le Président fut assassiné dans sa résidence officielle à Kinshasa. Le Président Laurent Désiré Kabila fut immédiatement remplacé par son fils Joseph Kabila alors chef d’état-major des Forces Terrestres après qu’il ait été désigné par le Gouvernement et le Parlement de Transition. Il prêta serment constitutionnel le 26 janvier 2001.Pour assurer la stabilité en RDC, il fut organisé des négociations politiques inter-congolaises à Sun City en République Sud-Africaine (2001-2003). De ce dialogue inter congolais sortirent les éléments qui avaient pour but de régir la période de transition (2003-2006) et la préparation des élections. Malgré les blocages des rebelles (RCD -MLC), les élections libres et démocratiques furent organisées.
La constitution en remplacement des lois imposées par la Belgique lors de l’indépendance fut promulguée le 18 février 2006 ; cette constitution souligne le fait que La République Démocratique du Congo est un Etat de droit, indépendant, souverain et indivisible, social, démocratique et laïc. Selon cette même constitution, le Congo est divisé en 26 entités provinciales fortement décentralisées. Celles-ci sont à leur tour subdivisées en entités territoriales décentralisées dotées comme les provinces de la personnalité juridique et sont gérées par les organes locaux. La date du 30 juillet au 29 octobre 2006 marque un nouvel envol pour la RDC car par votes aux suffrages universels directs, le Peuple congolais, après plus de 40 années de patience et de sacrifices sans nombre, a enfin élu démocratiquement son Président de la République en la personne de Monsieur Joseph Kabila Kabange, ses 500 Députés nationaux et ses 690 Députés provinciaux. Et au second degré, ses 108 Sénateurs et tous les Gouverneurs des provinces et leurs Adjoints. Dans son adresse à la Nation, Joseph Kabila a souligné que la recréation était finit et qu’il était temps de reconstruire la RDC, d’où son célèbre projet de « cinq chantiers » qui sont : Infrastructures, routes, rails, ponts, agriculture ; Création d’emplois par les investisseurs nationaux et étrangers ; Education ; Eau et Electricité ; Santé. Malheureusement, nombreux de ces projets n’ont pas abouti d’où perte de confiance du peuple congolais au gouvernement Kabila. Les Rwandais, les Ougandais, les Burundais qui eux aussi ne sont jamais calmes sans bousculer un tout petit peu la RDC, continuent à faire parler d’eux en soutenant des rebellions à l’Est du Congo (CNDP, M23,…), tout ceci a concourut a l’apparente impopularité du Rais lors des élections du 28 novembre 2011, et qui malgré qu’il ait été élu, il l’a été suite à des magouilles (cfr, rapport Carter).
Les rebellions naissent encore de partout avec les mai-mai, Cobra Matata, Raia Mutombo,…mais la rébellion la plus en vue est celle du M23, qui se fait remarquer de plusieurs manière et accusent le gouvernement en place des plusieurs maux. Plusieurs questions se posent, a part le Rwanda, le Burundi et l’Uganda qui ont toujours été les pions des grandes puissances, qui sont les faces cachées, les commanditeurs de ces rebellions ? Et que veulent il ?on s’est rend compte que le Congo d’aujourd’hui est le Congo d’hier mais la question majeure aussi au peuple congolais et particulièrement aux dirigeants ; que faites-vous de l’objectif de l’histoire ? Qui a pour rôle de faire comprendre le présent tout en corrigeant les erreurs du passé et de permettre de bien préparer le futur ? Car on a comme l’impression que vous ne faites que calquer le passé.
Comme on ne peut plus nombreux des pays africains, l’histoire de la RDC est parsemée de plusieurs épisodes des guerres, des rebellions, des révolutions,…Autrement dit, parler de l’histoire de la RDC fait allusion à comprendre les dures périodes qu’a traversé ce continent, de la traite aux noirs, passant par la colonisation, d’où maintenant la néo-colonisation par des occidentaux. Mais cela n’a pas empêché a quelques leaders bien que étouffés d’élever la voix : Lumumba, Kenyata, Kwame Krumha, Mandela ,Senghor, et tant d’autres mais aussi certains hommes des lettres de l’occident : jean Paul Sartre,…